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SCPI
Les investisseurs peuvent être freinés à l’idée d’investir dans l’immobilier locatif en direct. Les principaux freins enregistrés par nos conseillers sont : les risques d’impayés, la crainte des imprévus (travaux d’entretien par exemple), les contraintes de gestion, le manque de certitudes sur l’emplacement ou encore la fiscalité (impôts locaux + imposition sur les revenus). Certains sont parfois déjà propriétaires d’un ou plusieurs biens immobiliers en location et hésitent à réinvestir, ils cherchent plutôt à diversifier leur patrimoine. Et pour autant, ils peuvent continuer à investir dans l’immobilier tout en soulevant toutes ces inquiétudes. Il leur suffit d’investir à travers une ou plusieurs SCPI (Société Civile de Placement Immobilier). Voici les raisons de choisir ce placement pour développer son patrimoine.
Les SCPI peuvent investir dans tous les secteurs immobilier qu’elles souhaitent : le logement, les bureaux, les commerces, les locaux d’activité, les résidences séniors, les Ehpad, les résidences étudiantes etc… Tout dépend de la stratégie d’investissement envisagée et des convictions du gérant sur l’évolution du marché locatif. Investir en SCPI, c’est donc une façon de diversifier ses investissements immobiliers sur différents secteurs. Une diversification également des emplacements. En effet, les SCPI sont propriétaires de différents actifs immobiliers tangibles situés sur différentes zones géographiques en France et parfois même à l’étranger (en Europe essentiellement).
Par ailleurs, elles permettent aux investisseurs de se protéger contre l’érosion monétaire (l’inflation). En effet, la majorité des baux commerciaux prévoient une clause d’indexation des loyers en rapport avec l’évolution d’un indice de référence : l’ILC ou l’ILAT. Chacun de ces indices est publié tous les trimestres par l’Insee.
Pour revendre ses parts de SCPI, il n’est pas nécessaire de passer devant notaire. Le formalisme est simplifié, pour réduire les délais de vente.
Si vous êtes propriétaire de parts d’une SCPI à capital variable, vous devez envoyer un courrier à la société de gestion qui enregistrera votre demande de vente. Chaque mois, les demandes de vente sont compensées par les nouvelles souscriptions, au prix de retrait fixé par la société de gestion. Ce prix de retrait correspond au prix de souscription, auquel sont enlevés les frais d’acquisitions, payés par l’acquéreur.
Pour les SCPI à capital fixe, le formalisme est un peu plus lourd. Vous allez indiquez le prix auquel vous souhaitez vendre vos parts sur le marché secondaire en complétant un formulaire appelé un “ordre de vente”. Cet ordre de vente est ensuite enregistré dans un carnet d’ordre sur le marché secondaire.
Comme pour n’importe quel investissement immobilier, la revente n’est pas garantie. Elle est compensée par une nouvelle souscription. Mais, s’il devait ne pas y avoir de nouveaux souscripteurs, l’assemblée générale des associés de la SCPI peut décider de la création et la dotation d’un fonds de remboursement des parts destiné à contribuer à la fluidité du marché des parts.
Les investisseurs le savent, l’investissement immobilier est un investissement à long terme qui permet de répondre, entre autres, aux objectifs suivants :
Pour l’investissement en parts de SCPI, il en est de même !
Il est possible d’acquérir des parts de SCPI à crédit dès 30 000 €. Grâce à un crédit amortissable ou avec un crédit In Fine. Les durées les plus fréquentes sont 10 et 15 ans. Certaines banques acceptent des durées de crédit pouvant aller jusqu’à 20 ans, voire, de manière assez exceptionnelle, 25 ans. Ce mode de financement permet de créer un capital immobilier tout en se constituant un complément de revenu futur (pour la retraite par exemple).
Ce qui est également possible sans avoir recours à un emprunt, en réemployant de l’épargne disponible pour investir en démembrement de propriété. On parle alors d’investissement en nue-propriété de parts de SCPI. Dans ce cas, l’investisseur bénéficie d’une décote sur le prix des parts pouvant atteindre jusqu’à 36 % de sa valeur.
Prenons le cas par exemple d’une SCPI dont le prix de souscription serait de 205 € / part, et grâce à laquelle les associés ont perçus l’an dernier un revenu de 12 € / part versés sous forme d’acompte trimestriel (soit 3 € par trimestre et par part). Dans cet exemple, considérons que la La décote pour un démembrement sur 5 ans est de 22 % et de 35 % pour un démembrement sur 10 ans.
Exemple sur 5 ans :
Prix d’achat d’une part = 205 € – 22 % = 159,90 €.
Donc pour l’achat de 200 parts, l’investisseur réalise une souscription de 31 980 €. S’il avait investi en pleine propriété, le montant de la souscription pour le même nombre de parts se serait élevé à 41 000 €. Le démembrement sur une période de 5 ans implique que sur cette période, l’investisseur ne perçoit pas de revenu et ne peut pas céder ses parts. Au terme des 5 ans, il peut :
Si l’investisseur décide de conserver les parts, il aura bénéficié d’un effet multiplicateur sur les revenus généré. En effet, grâce à la décote, il a pu souscrire 200 parts avec un capital de 31 980 €. S’il avait souscrit ces parts en pleine propriété au prix de 205 €, il n’aurait pu acheter que 156 parts (31 980 / 205€ = 156). Les revenus perçus ne seraient alors que de 156 x 12 € = 1 872 €. Grâce à la décote, l’investisseur a pu augmenter sa rente immobilière de 528 € par an soit +28,20 % !
Bon à savoir : en cas de cession des parts au terme des 5 ans, le bénéfice de la décote n’est pas imposable à l’impôt sur le revenu. En effet, il n’est pas considéré comme une plus-value immobilière.
Conservons la même SCPI que pour notre exemple précédent.
L’investisseur souscrit 500 parts soit 102 500 € et perçoit des revenus trimestriel de (12 € x 500 parts)/4 trimestres = 1500 €. Ce projet est financé à 100 % par une banque. Les loyers de la SCPI sont versés tous les trimestres sur un compte bancaire isolé des autres comptes du foyer, et les mensualités de l’emprunt sont prélevées tous les mois sur ce même compte. Le prêt en question est un prêt amortissable sur 15 ans.
Trésorerie mensuelle moyenne (impôts déduits) = -362 € (sur toute la durée de l’opération)
Valeur des parts au terme de l’opération = 103 326 €
Loyer trimestriel (complément de revenu perçu) = 1500 € (utilisés pour participer aux mensualités du crédit et réduire ainsi l’effort mensuel)
Gain net de l’opération en cas de cession des parts = 40 630€
TRI de l’opération = 6,30 %
Le Gain net de l’opération correspond à la différence entre le cumul de l’épargne versé pendant toute la durée de l’opération (soit 15 ans) moins la valeur de cession des 500 parts.
Comme pour tout investissement immobilier, des alternatives pour optimiser ses impôts existent. La fiscalité sur les revenus fonciers pour les résidents fiscaux français étant ce qu’elle est, certains contribuables peuvent être lourdement imposés sur les revenus fonciers en fonction de leur tranche marginale d’imposition.
Plusieurs options s’offrent alors à eux :
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Pourquoi investir en SCPI ?
Une SCPI, ou Société Civile de Placement Immobilier, permet aux investisseurs d’acheter des parts dans une société qui détient et gère un portefeuille de biens immobiliers diversifiés. Les investisseurs deviennent ainsi indirectement propriétaires de ces biens. Les loyers perçus par la SCPI sont ensuites redistribués aux investisseurs sous forme de dividendes mensuels ou trimestriels, proportionnels à leurs parts détenues. La gestion des biens immobiliers est assurée par une société de gestion spécialisée qui s’occupe de l’acquisition, de la location, des travaux et de la gestion courante.
Investir dans une SCPI présente plusieurs avantages. Tout d’abord, cela permet une diversification sur un ensemble de biens immobiliers. De plus, la gestion professionnelle assurée par la société de gestion agrée par l’AMF permet de déléguer les contraintes liées à la gestion des biens. Les SCPI offrent également la possibilité de percevoir des revenus réguliers sous forme de dividendes versés mensuellement ou au trimestre. Cependant, il existe également des inconvénients potentiels, tels que le risque de perte en capital, la liquidité limitée des parts, ainsi qu’aux aléas du marché immobilier. Il est donc important d’évaluer ces avantages et inconvénients avant de décider d’investir dans une SCPI.
Le rendement moyen des SCPI (Taux de distribution) peut varier d’une année à l’autre et dépendre de plusieurs facteurs. En général, le rendement moyen des SCPI se situe entre 4% et 6% par an. Cependant, il est important de noter que ce chiffre n’est qu’une estimation et ne garantit pas les rendements futurs. Le rendement d’une SCPI est influencé par les loyers perçus sur les biens immobiliers, les frais de gestion, les charges, ainsi que les éventuelles plus-values réalisées lors de la vente de biens immobiliers. Il est recommandé de consulter les rapports et les données fournies par la société de gestion pour avoir une estimation plus précise du rendement d’une SCPI spécifique.
Pour acheter des parts de SCPI, il vous suffit de prendre rendez-vous avec votre conseiller Weelim. Il vous aide à comparer et sélectionner les meilleures SCPI du marché qui correspondent à vos objectifs d’investissement et à votre profil d’investisseur. Il vous communiquera également tous les documents d’information nécessaire à la bonne compréhension des produits. Après avoir pris connaissance de ces informations, vous pouvez procéder à l’achat des parts en complétant un dossier d’investissement (bulletin de souscription, fiche de connaissance client etc.) et en effectuant le paiement correspondant. Enfin, une fois l’achat réalisé, vous deviendrez propriétaire des parts de la SCPI et bénéficierez des revenus générés par les biens immobiliers détenus par celle-ci.
L’investissement en SCPI comporte certains risques qu’il est important de prendre en compte. Tout d’abord, il existe un risque de perte en capital, car la valeur des parts peut fluctuer en fonction de l’évolution de la valeur des biens immobiliers quelle détient. De plus, les revenus distribués par les SCPI peuvent varier, en fonction du niveau d’encaissement des loyers (taux d’occupation, renégociations des baux etc…). Il existe notamment un risque de vacance locative, où certains biens immobiliers de la SCPI pourraient rester inoccupés, réduisant ainsi les revenus potentiels. De plus, la liquidité des parts peut être limitée. Enfin, il y a un risque associé à la société de gestion, telle que sa capacité à gérer efficacement le portefeuille immobilier et à prendre des décisions appropriées.