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Assurance-vie
La richesse d’un placement assurance-vie ou d’un contrat de capitalisation ou encore d’un PER (Plan Epargne Retraite) se trouve dans la diversité et la pluralité des supports d’investissement. En effet, dans ces placements assurantiels vous pouvez investir votre épargne sur de nombreux supports d’investissement, classés en deux grandes familles : les fonds en euros et les unités de compte. Le choix des supports va néanmoins être déterminant quant à la performance de votre portefeuille. Il est donc important de connaître les différents supports pour évaluer l’intérêt ou non de vous positionner dessus.
Plus un investisseur a de choix, plus il peut, accompagné par son conseiller privé Weelim, faire des choix pertinents pour aller chercher de la performance financière et extra financière. Tous les contrats avec lesquels nous travaillons ont cette même particularité d’offrir aux investisseurs un nombre importants de possibilités d’investissement :
Depuis de nombreuses années, le fonds en euro est le support qui séduit le plus les investisseurs parce qu’il présente de nombreux atouts :
C’est un support qui est géré directement par la compagnie d’assurance elle-même. Chaque compagnie d’assurance dispose donc de son propre « fonds en euros », certaines en ont même plusieurs accessibles au sein de différents contrats commercialisés par la compagnie elle-même en direct ou par l’intermédiaire de distributeurs externes (banque, courtier ou conseiller en gestion de patrimoine) ou au sein d’un même contrat. Ce qui va différencier les fonds en euros entre eux, c’est leur composition.
Depuis plus de 20 ans, la performance moyenne de ces fonds en euros ne cesse de baisser. A titre d’exemple, en 2000 la performance moyenne des fonds en euros était de 5,30 % contre 1,30 % en 2021. En cause, la baisse des taux obligataires (obligations d’Etat et d’entreprises), sur lesquels sont majoritairement investis les capitaux collectés sur les fonds en euros.
Dans ce contexte de baisse des rendements des fonds en euros traditionnels, le marché a vu naître au fil du temps de nouvelles générations de fonds en euros :
Et, les fonds croissance et Eurocroissance dont la garantie en capital (totale ou partielle) promise par l’assureur n’est acquise par le souscripteur qu’au terme d’une durée de détention minimale fixée à 8 ans par le code des assurances.
En lisant le précédent paragraphe, vous aurez certainement compris qu’investir dans un ou plusieurs fonds en euros vous apportera un niveau élevé de sécurité, mais une performance potentielle plutôt faible. Nous sommes convaincus chez Weelim que l’environnement économique dans lequel nous évoluons ne permet plus aux investisseurs de dégager de la performance financière en assurance-vie sans prendre de risque sur une partie de son capital. C’est pour cela que les unités de comptes sont intéressantes.
En contrepartie d’un risque de perte en capital plus ou moins élevé selon les supports, l’investisseur peut espérer un gain potentiellement plus important que les fonds en euros.
Parmi les formes les plus courantes d’unités de compte, on retrouve :
Certains contrats permettent aussi d’investir directement dans des titres vifs (par exemple l’action LVMH, Air Liquide ou Peugeot).
Les unités de compte sont dédiées au long terme et, en contrepartie de fluctuations, elles peuvent rapporter de 4 à 5,5% pour l’immobilier et de 6 à 10% par an pour les actions.
Il est essentiel de comprendre que le niveau de risque des supports en unités de compte est très variable et intimement lié à la performance attendue. Le niveau de risque d’un support est noté sur une échelle allant de 1 à 7, appelée SRRI, qui indique une estimation du niveau de risque et du potentiel de rendement du fonds.
L’information sur le niveau de risque d’une unité de compte se trouve dans le DIC, le Document d’Informations Clés.
Le DIC est un document standardisé au niveau européen. De 2 à 3 pages maximum, il doit fournir une information claire, exacte et non trompeuse sur le produit concerné. Il est obligatoirement remis avant toute souscription, avec un délai raisonnable, afin de permettre à l’épargnant de prendre une décision d’investissement en connaissant les principales caractéristiques du produit. Il ne s’agit en aucun cas d’un document publicitaire. Pour vous aider à comprendre le risque du placement, l’indicateur situe le produit sur une échelle allant de 1 à 7. Il permet également de comparer son niveau de risque à celui d’autres produits. Ce niveau de risque part du principe que vous conservez le produit sur la durée recommandée du produit. Cette durée est indiquée dans le DIC. L’échelle est réalisée en combinant le risque de marché (les fluctuations de la valeur des investissements) avec le risque de crédit (la possibilité que l’établissement ne puisse pas rembourser).
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Quels supports choisir pour investir en assurance-vie ou dans un PER (Plan Epargne Retraite) ?
Une assurance-vie est un placement où le souscripteur verse un capital et, s’il le souhaite, des primes régulières sous forme de versements libres ou programmés. Ce placement prend la forme d’un contrat établi auprès d’une compagnie d’assurance afin de couvrir un aléa, celui du décès de l’assuré qui est généralement le souscripteur (mais qui peut-être une tierce personne). Les sommes investies sont ensuite ventillées sur différents supports comme le fonds en euros ou des unités de compte (Opcvm, SCPI, SCI, OPCI, produits structurés, ETF, titres vifs, etc.). L’objectif est de faire fructifier le capital investi à moyen long terme.
Le placement en assurance-vie présente de nombreux avantages. Tout d’abord, il offre généralement un large choix de supports (fonds actions, fonds obligataires, produits structurés, fonds euros, trackers, fonds immobiliers, fonds de private equity etc.) permettant d’adapter sa stratégie d’investissement, en fonction de son profil d’investisseur et son appétence au risque. Ensuite, l’enveloppe assurance-vie offre des avantages fiscaux non négligeables en cas de décès du souscripteur assuré, ou en cas de retrait en cours de vie du contrat. C’est, pour toutes ces raisons, un des placements préférés des français.
Le fonctionnement de l’assurance-vie repose sur un contrat entre un souscripteur et une compagnie d’assurance. Lorsqu’un contrat d’assurance-vie est souscrit, le souscripteur verse un capital et, s’il le souhaite, des primes régulières sous forme de versements libres ou programmés. Une fois les sommes versées, le souscripteur a le choix entre différents modes de gestion : gestion libre, gestion pilotée, gestion sous mandat ou gestion conseillée par exemple. En gestion libre, il pourra choisir librement parmi un large choix de supports (opvvm produits structurés, fonds euros, trackers, SCPI, fonds de private equity etc.) permettant d’adapter sa stratégie d’investissement en fonction de ses convictions et de ses objectifs.
Dans une assurance-vie, les sommes investies sont, sauf rares exceptons, disponibles à tout moment et sans frais. Cependant, les conditions financières peuvent varier en fonction notamment de la typologie des supports dans lesquels vous êtes investis (certaines unités de compte peuvent prévoir des pénalités en cas de retrait anticipé). De plus, les conséquences fiscales peuvent être importante, en fonction de la date de retrait par rapport à la date d’ouverture du contrat. Une étude au cas par cas est obligatoire pour évaluer l’intérêt ou non d”effectuer un tel retrait.
En France, tous les gains générés au sein d’un contrat d’assurance-vie sont soumis à fiscalité : impôt sur le revenu et prélèvements sociaux. Néanmoins, il ne sont pas imposables, tant qu’ils ne sont pas retirés du contrat. Seul les prélèvements sociaux sont prélevés tous les ans sur les intérêts versés par le fond en euros. La fiscalité applicable en cas de retrait va être fonction de la date de versement des fonds, ainsi que de la date d’ouverture du contrat par rapport à la date du retrait. Par exemple, si le contrat a plus de 8 ans et que les primes ont été versées avant le 27 septembre 2017, alors les gains peuvent être exonérés d’impôt sur le revenu jusqu’à 4 600 € pour un célibataire . Au-delà de cet abattement, les gains sont soumis à un prélèvement forfaitaire libératoire (PFL) de 7,5% sur option ou à l’imposition au barème progressif de l’impôt sur le revenu.