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L’immobilier en Assurance-vie

SCPI, OPCI, SCI, Foncières côtées et autres UC immobilières

Définition

L’assurance-vie est aujourd’hui le placement préféré des français avec plus de 1 700 milliards d’euros d’encours (source Fédération Française de l’Assurance – Janvier 2019). La majorité des contrats disponibles à l’investissement sont dit « Multisupports », c’est à dire qu’ils permettent à l’investisseur de positionner son épargne sur des fonds en euros gérés par la compagnie d’assurance (capital garanti), et des unités de comptes (UC). Une UC peut être un OPCVM (FCP ou SICAV), une SCPI, un OPCI, une SCI  ou autre. C’est généralement un fonds géré par une société de gestion qui n’est pas l’assureur fournisseur du contrat.

Les avantages

  • Possibilité d’investir à partir de 1000 €
  • Flexibilité : arbitrages possibles en cours de vie du contrat
  • Choix important de supports au sein d’un même contrat
  • Un investisseur pour souscrire à plusieurs assurance-vie.
  • Fiscalité très avantageuse pour l’épargnant
  • Il est possible de retirer les fonds à tout moment*
  • Fonds euro à prépondérance immobilière (capital garanti)
  • Les SCPI
  • Les OPCI
  • Les SCI
  • Les SCP
  • Les OPCVM immobiliers
  • Les foncières côtées

Les Frais

  • Les frais de gestion entre 0,7 % et 1,5 % selon les contrats et le mode de gestion choisi par l’investisseur.
  • Les frais de souscription ou d’investissement : les unités de compte immobilières comme les SCPI ou les OPCI présentent dans la quasi totalité des cas des frais.
  • Les frais d’entrées : peuvent être compris entre 0 % et 5 % selon les contrats d’assurance-vie. Consultez nous pour connaître toutes nos offres.

Fiscalité de l'assurance-vie

Fiscalité en cas de retrait

Le principe de l’assurance-vie est celle de la capitalisation des intérêts. Tous les gains réalisés restent investis au sein de l’enveloppe et n’engendre aucun impôt sur le revenu (IR) tant que les sommes restent investies au sein du contrat (NB : seul les prélèvements sociaux sont prélevés à la source sur les fonds euros et non pas sur les autres supports appelés aussi Unités de Compte ou UC). C’est uniquement en cas de rachat partiel (retrait d’une partie de l’assurance-vie n’entraînant donc pas la sa fermeture) ou total (clôture de du contrat) que les gains sont susceptibles d’être imposés. Nous allons voir comment.

Rachat partiel : 

Le montant retiré par le souscripteur est alors composé à la fois d’une partie du capital investi et d’une partie des gains (intérêts) accumulés grâce à la performance des supports sélectionnés. Seule la quote part correspondant à des intérêts est alors imposable.

Rachat total: 

Tous les gains générés sur l’assurance-vie sont alors imposables.

Produits des primes versées jusqu’au 26/09/2017 Produits des primes versées à compter du 27/09/2017
De 0 à 4 ans IR + PS ou PLF 35% + PS 17,2% = 52,20 % IR + PS ou PFU 30% (12,8% d’IR + 17,2% de PS)
De 4 à 8 ans IR + PS ou PLF 15% + PS 17,2% = 32,20 % IR + PS ou PFU 30% (12,8% d’IR + 17,2% de PS)
Plus de 8 ans Versements avant le 25/09/1997 Versements après le 25/09/1997 Produits issus de la fraction des Primes versées par détenteur < à 150 000 euros (ou produits générés par les versements à concurrence de 150K€) Produits issus de la fraction des Primes versées par détenteur > à 150 000 euros
Pas d’impôts IR+PS ou PLF 7,5% (après abattement de 4 600 € pour un célibataire ou 9 200 € pour un couple marié/pacsé soumis à une imposition commune) + PS 17,2% = 24,70% IR + PS ou PLF 7,5% (après abattement de 4 600 € pour un célibataire ou 9 200 € pour un couple marié/pacsé soumis à une imposition commune) + PS 17,2% = 24,70% IR + PS ou PFU 30% (12,8% d’IR + 17,2% de PS) mais avec abattement (4 600 € pour un célibataire ou 9 200 € pour un couple marié/pacsé soumis à une imposition commune)

Les produits dégagés sont donc soumis :

  • Soit à l’impôt sur le revenu (par réintégration dans les revenus imposables du souscripteur) + Prélèvements sociaux
  • Soit au taux du prélèvement libératoire forfaitaire (PLF) + Prélèvements sociaux pour les versements avant le 26/09/2017 ou au taux du prélèvement forfaitaire unique de 30 % (PFU) pour les versements réalises à compter du 27/09/2017.

Le souscripteur choisit le mode d’imposition le plus interessant en fonction de sa situation fiscale.

Bon à savoir :

Les produits sont exonérés de fiscalité lors du dénouement du contrat dans certains rare cas comme le licenciement par exemple sous certaines condition. Pour plus d’information contacter nos experts

Les contributions sociales sont prélevées au moment du dénouement du contrat (rachat total, règlement au terme ou en cas de décès), en cas de rachats partiels, ainsi que chaque fin d’année sur les supports euros du contrat et en cas de désinvestissement total de ces supports ou arbitrage.

Fiscalité en cas de décès de l’assuré

Tout souscripteur d’un contrat d’assurance-vie désigne au moment de l’investissement le ou les bénéficiaire(s) du contrat en complétant obligatoirement une « clause bénéficiaire ». Au moment du décès de l’assuré (qui est en général le souscripteur lui-même), la compagnie d’assurance procédera au versement du capital et des intérêts capitalisés au(x) bénéficiaire(s). Le montant alors versé sera net d’impôt. En effet, la compagnie d’assurance prélèvera à la source la fiscalité qu’elle versera directement à l’administration fiscale. Cette fiscalité dépendra de l’âge du souscripteur au moment où le ou les versements ont été effectués en cours de vie du contrat.

 

Voici un tableau présentant la fiscalité pour les Primes versées après le 13/10/1998
Avant les 70 ans de l’assuré Après les 70 ans de l’assuré
Article 990 I Article 757B
Taxation Assiette Capitaux perçus au titre des primes diminues d’un abattement de 152 500 euros par bénéficiaire Montant des primes versées diminue d’un abattement global de 30 500 euros
Taux 20% pour la tranche taxable du capital décès ≤ a 700 000 € par bénéficiaire Selon le lien de parenté qui existe entre l’assure et le bénéficiaire (Droits de mutation par décès)
31,25% pour la tranche taxable du capital décès > a 700 000 € par bénéficiaire

Sont exonérés de tout droit de succession et de taxe sur les capitaux décès :

  • le conjoint de l’assuré décédé,
  • le partenaire lie à l’assure par un PACS,
  • le frère ou la sœur célibataire de l’assuré décédé, veuf, divorce ou séparé de corps âge de plus de 50 ans ou infirme et vivant depuis plus de 5 ans avec l’assure.
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Questions fréquentes

Une assurance-vie est un placement où le souscripteur verse un capital et, s’il le souhaite, des primes régulières sous forme de versements libres ou programmés. Ce placement prend la forme d’un contrat établi auprès d’une compagnie d’assurance afin de couvrir un aléa, celui du décès de l’assuré qui est généralement le souscripteur (mais qui peut-être une tierce personne). Les sommes investies sont ensuite ventillées sur différents supports comme le fonds en euros ou des unités de compte (Opcvm, SCPI, SCI, OPCI, produits structurés, ETF, titres vifs, etc.). L’objectif est de faire fructifier le capital investi à moyen long terme.

Le placement en assurance-vie présente de nombreux avantages. Tout d’abord, il offre généralement un large choix de supports (fonds actions, fonds obligataires, produits structurés, fonds euros, trackers, fonds immobiliers, fonds de private equity etc.) permettant d’adapter sa stratégie d’investissement, en fonction de son profil d’investisseur et son appétence au risque. Ensuite, l’enveloppe assurance-vie offre des avantages fiscaux non négligeables en cas de décès du souscripteur assuré, ou en cas de retrait en cours de vie du contrat. C’est, pour toutes ces raisons, un des placements préférés des français. 

Le fonctionnement de l’assurance-vie repose sur un contrat entre un souscripteur et une compagnie d’assurance. Lorsqu’un contrat d’assurance-vie est souscrit, le souscripteur verse un capital et, s’il le souhaite, des primes régulières sous forme de versements libres ou programmés. Une fois les sommes versées, le souscripteur a le choix entre différents modes de gestion : gestion libre, gestion pilotée, gestion sous mandat ou gestion conseillée par exemple. En gestion libre, il pourra choisir librement parmi un large choix de supports (opvvm produits structurés, fonds euros, trackers, SCPI, fonds de private equity etc.) permettant d’adapter sa stratégie d’investissement en fonction de ses convictions et de ses objectifs. 

Dans une assurance-vie, les sommes investies sont, sauf rares exceptons, disponibles à tout moment et sans frais. Cependant, les conditions financières peuvent varier en fonction notamment de la typologie des supports dans lesquels vous êtes investis (certaines unités de compte peuvent prévoir des pénalités en cas de retrait anticipé). De plus, les conséquences fiscales peuvent être importante, en fonction de la date de retrait par rapport à la date d’ouverture du contrat. Une étude au cas par cas est obligatoire pour évaluer l’intérêt ou non d”effectuer un tel retrait.

En France, tous les gains générés au sein d’un contrat d’assurance-vie sont soumis à fiscalité : impôt sur le revenu et prélèvements sociaux. Néanmoins, il ne sont pas imposables, tant qu’ils ne sont pas retirés du contrat. Seul les prélèvements sociaux sont prélevés tous les ans sur les intérêts versés par le fond en euros. La fiscalité applicable en cas de retrait va être fonction de la date de versement des fonds, ainsi que de la date d’ouverture du contrat par rapport à la date du retrait.  Par exemple, si le contrat a plus de 8 ans et que les primes ont été versées avant le 27 septembre 2017, alors les gains peuvent être exonérés d’impôt sur le revenu jusqu’à 4 600 € pour un célibataire . Au-delà de cet abattement, les gains sont soumis à un prélèvement forfaitaire libératoire (PFL) de 7,5% sur option ou à l’imposition au barème progressif de l’impôt sur le revenu.

Nos certifications

Depuis 2019

Chambre Nationale des Conseils en Gestion de Patrimoine

CPI 3301 2019 000 041 117

CCI Bordeaux Gironde : Carte T

N° 19004224

Orias : Conseiller en Investissement Financier (CIF) & Courtier en assurance

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